Attention à toi ! ( pv) Namira

Par un bel après-midi j'étais en route pour la pleine au vent, qui se situais sur mon territoire. Je méritait une belle promenade, après une mariner au camps en compagnie des humains. Mais avant de partir la bas je vue une bonne quantité d'eau dans mon bol. Parce que la bas il n'avais aucune source d'eau, alors je devais boire. Après cela je marchais tranquillement en direction de l'endroit. Il faisait vraiment beau et chaud, il n'avais aucun vent cela étais vraiment bien, je n'aimais pas trop le vent. Le silence que procurais la nature me fit tellement de bien, je soupir alose d'aise. J'aimais tellement celui -ci. Ont pouvais profiter de celui -ci, ont pouvais ender a autre chose que notre passé. Comme comment était faite cette fabuleuse nature et la végétations autour et tout le reste. Ses indiens étaient très proche de la nature eux aussi. Alors je comprenais que c'étais le cas pour moi aussi, après tout j'étais des leurs. Après quelques kilomètres, je m'arrêta en sentant déjà le vent de l'endroit venir rapidement dans mon visage. Je gronde soudainement, c'étais vraiment désagréable. Je m'assis pour enfin regarder l'horizon. Tout en commençant à marcher tranquillement sur ses roches, qui faisait parfois mal aux pattes. Je regarde autour il n'avais pas grand chose, autre que des petits arbuste et des petite roches et vraiment beaucoup d'ombre. C'étais bien je devais me reposer de cette chaleur et de se Soleil. Alors je me dirige rapidement vers un coin d'ombre. Enfin je me couche et en scrutant à nouveau l'endroit j'aperçut un gros troue et un énorme amateurs de roche qui formaient un pont, j'allais aller voir cela de plus près plus tard. Je devais d'abord me reposer après ses long kilomètres que je fait pour arriver ici. Enfin je mît ma tête sur mes pattes pour enfin fermer tranquillement mes yeux varions. J'étais malgré cela toujours en alerte, s'il devais arriver quelque chose.

Don't try something stupid with me...
PV Snow

J'avais fini par repartir du territoire de ma meute, une fois de plus. Langue pendante, j'arpentais les territoires des autres meutes sans rien trouver d'intéressant pour la Meute de l'Ouest. Seulement des stupidités. J'étais même tombée prêt d'un batifolage entre deux jeunes loups. Bien entendu, curieuse, j'avais un peu écouté avant de rire intérieurement : la pauvre louve, qui, en plus, avait mon âge, était en train de se faire berner par un stupide mâle, fier de ses muscles mais qui ne semblait rien avoir dans la tête. J'avais écourté mon espionnage chez les sauvages en partie pour cette raison : ni informations croustillantes sur nos ennemis, ni traces de futurs prédateurs prêt à traverser vers notre territoire.

Mon rôle en tant qu'espionne semblait bien maigre ces temps-ci. Je passais mon temps à parcourir des terres sans rien trouver d'alléchant, endurcissant seulement un peu plus mes pattes à une vie nomade. Je pouvais partir quelques jours dans le but de trouver quelque chose. Cela forgeait aussi bien le corps que l'esprit. Mais je devais avouer que je me demandais comment mon arrière-grand-mère faisait pour tuer seule des proies que l'on tue normalement en meute... Durant mes excursions, je ne faisais que me nourrir de lemmings, de quelques lapins et, parfois, avec de la chance, de jeunes animaux herbivores tombaient de trop haut. Mais cette vie n'était pas désagréable. Et lorsque je rentrais, même avec de maigres informations et de maigres repas, j'étais accueillie avec des jappements et des aboiements de la part de certains membres autre que ma famille. Non, cette vie n'était pas si mal.

Mes pensées se tournèrent vers des territoires que je n'allais visiter que bien peu, surtout par hantise : ceux des Hommes. Je ne les craignais pas eux, mais leurs fusils. Mon ancienne meute, celle que j'aurais dû un jour dirigée, avait été décimée et éparpillée par ces infâmes fusils qu'ils portaient. J'étais assez contente de ma vie actuelle mais la peur de ces armes me hantera sans doute toujours... Néanmoins, je finis par me décider et changea mon cap pour des territoires plus lointain. Alors que j'avançais en trottinant, à l'affût du moindre bruit, je tombais sur un lapin imprudent qui finit bien vite dans ma gueule.

Fière de ma prise, je continuais ma route, observant tout en détenant mon trophée entre mes crocs. L'odeur des humains m'insupportaient. Je ne comprenais pas comment on pouvait aimer vivre avec eux. Je remerciais silencieusement les Esprits pour ne pas avoir laisser leur odeur sur mon dominant trop présente avant de m'approcher silencieusement du camp... Certains chiens réagirent à mon odeur mais je me camouflais bien vite derrière des tipis et leur fumée de feu de bois. On m'oubliait alors et je pouvais arpenter les abords en silence et avec grâce, mon lapin toujours dans ma gueule. Mes muscles se tendirent lorsqu'un chien-loup gris foncé se plaça devant moi en grognant. Je ne lâchais pas ma prise et grognais à mon tour, tentant de l'impressionner en ébouriffant mon pelage. Peine perdue. Le mâle ne fit que se redresser de plus, me dominant par sa taille. Je n'étais pas venue ici pour recevoir des morsures et je choisis la voie de la fuite, abandonnant mon repas au pattes de ce vil animal assujetti aux Hommes.

Ma course folle me conduisit dans une plaine où le vent soufflait avec une force impressionnante. C'était la première fois que je venais aussi loin dans cette contrée et je n'en connaissais rien. Je me mis à arpenter avec précaution ce nouveau lieu, humant, observant, m'arrêtant de temps à autres pour voir si le mâle m'avait suivi. Mais rien. Ce n'est qu'au bout d'un long moment qu'apparut un canidé, s'approchant de moi. Je reconnus tout de suite son appartenance à son odeur. Mes poils s'hérissèrent instinctivement et mes babines se retroussèrent. Mon regard doré en devenait brûlant. Les oreilles en arrières et la queue haute, j'avançais tête haute vers cet inconnu, esclave des Hommes. J'avais beau ne pas détester réellement les chiens et les demi-sangs, je n'en demeurais pas moins une fervente servante de la Liberté. Et être ainsi enchaîné aux Hommes me dégouttais au plus haut point. Un grondement sourd s'élever de ma gorge sèche. ♣ Laisse moi tranquille, bête des Hommes. Ou tu regretteras de t'être frotter à un VRAI loup... Lâchais-je avec hargne contre ce demi-sang.

J’étais toujours couché, les yeux fermé quand soudainement, une odeur de loup me parvenait. Je me lève rapidement pour constater la présence, de la louve noire. J’hérisse mon poise et je gronde soudainement, j’avais adopté la même position quelle. Je me demandais vraiment ce qu’elle me vouait et se quelle venais faire ici en terre indienne. Je fixai sont regard jaune avec mes yeux bleu et rouge, j’avais en ce moment un regard froid. Je lui avais rien fait à moins qu’elle a constaté que je lui ferrais quelque chose à cause que j’étais es humain, je n’étais pas avec mon indien, alors cela était correcte. Le mot vrai loup me fit vraiment mal, oui j’étais à moitié loup mais elle n’avait aucune raison de me traiter comme cela. Je détourne le regard vraiment hérité par ses paroles avant de grogner à nouveau mes oreilles sur mon crane. Enfin je m’étire et je marche un peu face a se vent, bon cette journée allait être difficile ont dirait, mais bon il n’avait pas toujours des journées facile.

-Écoute de un je ne t’ai rien fait de mal et de deux redit plus jamais cela d’accord. Je sais très bien que je suis un chien loup avec le passé que j’ai eu compris !-

Je me demandais comment qu’allais réagir celle – ci surtout comment que cette rencontre allait finir. Si elle allait se finir en bin de sang il ne fallait pas j’avais déjà une grosse blessure. D’ailleurs il ne fallait surtout pas quelle remarque cela, alors je devais faire attention a commenté que je me plaçais devant elle. Enfin je la regarde attentivement en me demandant, de quelle meute pouvait-elle provenir. Je regarde l’horizon en me demandant se quelle étais venue chercher ici, il avait vraiment rien. Je ne voulais pas parler de mon passé alors j’espérais quelle n’allait poser aucune questions par apport à cela. Aussi non elle va avoir à faire à moi celle-là.

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» Namira, jeune espionne un peu perdue...