Sherkan. • Le loup brun.

Il était une fois, une louve. C’est fini ! Nan soyons sérieux un instant s’il vous plaît. Le début du commencement débuta au XIXe siècle. Sous une épaisse couche de nuages couleur charbon, le soleil luttait pour faire passer ses rayons lumineux à travers les nuages. Pour peut-être pouvoir éclairer la naissance de sept louveteaux. Sept petites boules de poils dont trois étant blancs, deux noirs et un gris. Dans cette fratrie où les petits furent bien nombreux, un petit décéda lors de l’accouchement. Il en resta plus que six. Leurs noms furent donnés par ordre de naissance.

« Sherkan, Pandore, Frenzy, Hoshi, Buck, Hacker. »

Mais dans leur nom un des sept petit eu en possession un nom de trois mot. Sherkan. C’était le seul auquel ses parents voulurent attribuer un nom composé. Mais pourquoi ? L’on pense que c’est parce que le petit était assez rebelle et fière, surtout lors de sa naissance lorsqu’il voulut pousser sa sœur pour téter à sa place. Mais mise à part ça, Tout le monde voulut le surnommer Sherkan. Ou Sherkan le plus puissant, selon les goûts. Mais il ne vous en voudra pas si vous l’appelez autrement, tout ce qui compte c’est qu’il ne soit pas insulté d’ange solitaire, et oui car ce surnom il le déteste. Ses frères et sœurs furent « soumis » à lui, enfin. Quand Sherkan leur demandait de lui laisser la place pour manger avant, les autres s’en fichaient. Ils lui cédèrent la place aussitôt qu’il eut demandé. Mais parfois certains rechignaient et se plaignaient que Sherkan n’arrêtait pas de demander ci ou ça. Sa tante, la sœur de la mère de Sherkan, ou plus précisément nommée Maya, fût très proche de la mère de Sherkan, Nora. Les deux mères s’entendaient très bien, et faisaient interagir leurs petits ensembles afin qu’ils rencontrent d’autres personnalités un peu plus « mures » et « sans soucis » car les deux mères étaient très protectrices et ne voulaient certainement pas voir leurs enfants traîner avec n’importe qui.

Dans la portée de Maya, la tante de Sherkan, un louveteau se lia comme d’ « amitié » avec son cousin. Pandore. Un petit que Sherkan aima beaucoup pour son audace et son courage, mais aussi pour son assez fort caractère. Mais dans son passé, il y avait des choses dont il ne voulait pas parler. Sherkan ne voulait pas beaucoup s’adresser au père de Pandore parce qu’il le pensait trop dur à son goût.

S’il s’approchait du père, il savait que cela aboutirai certainement à une relation pas très agréable à vivre. Mises à part le père « trop dur sous la dent », Sherkan se lia beaucoup d’ »amitié » avec sa tante. Maya et lui s’entendaient très bien, et Sherkan en était heureux. Mais vint un jour où la portée de Maya disparu complètement. Avant qu’il se lie d’amitié avec son cousin, la fratrie ne résista pas l’hiver bien longtemps. La portée fût perdue, mais le plus coriace, je ne vais pas vous faire un dessin il s’agit de Pandore s’en sortit indemne, comme par magie. Et ainsi Sherkan réussi à se lier d’amitié avec lui. Une forte compassion, voici quel était le point fort de Sherkan. Que dire de plus ? Vint un jour où s’arrêtent toutes les bonnes choses. Loups autrefois solitaire, son cousin dût partir rejoindre une meute pour des raisons que seul la vie et l’âme réussi à comprendre. C’était une question de survie, et la belle amitié était à présent comme … Déchirée.

Mais à trois ans et demi, Sherkan redécouvrit son cousin. Ce fût directement un choc. Changement physique et intellectuel, la peur de se faire rejeter ou humilier, la peur de la réaction de cette même personne. Tout ça faisait que Sherkan avait peur. Peur d’avoir retrouvé quelqu’un qu’il aimait. Quelqu’un avec qui il avait partagé beaucoup de choses dans sa vie, quelqu’un à qui il a su donner conseils et qu’il a su aidé lors des besoins. Si nécessaires.

Lorsque vint un temps où il se rappelait des premières paroles prononcées par ses parents. «Sherkan» qui en français signifie « Bloc de Platine ». Cela n’avait aucun sens. Me « Bloc de Platine » demanda alors à ses parents de lui retirer ce nom. Mais il était trop tard, cela faisait maintenant trois ans que ce nom fût déclaré devant lui pour la première fois. Et Sherkan s’emporta. Il ne voulut plus revoir ses parents. Plus jamais. Partir en exil était alors la seule solution. « Je m’en vais. Vous n’avez ni su m’écouter, ni su résoudre mon PROBLÈME. Je vous haï pour m’avoir donné ce nom qui n’a aucune signification ! Juste pour une histoire d’allaitement en plus ! »

Ce fût les dernières paroles déclarées à ses parents avant de partir en exil, loin de sa famille. Son cousin ? Il COMPTAIT le chercher. Le chercher pour le redécouvrir. Après ce temps qui lui parût si long, c’était le moment de prouver à quel point il ne l’avait pas oublié. Oublier un être si cher qui a su apporter du bonheur dans votre vie ? Ça ne s’oublie pour rien au monde. Même pas pour quelqu’un d’autre.

C’est ce peu de bonheur qui a su faire de quelqu’un un être qui restera à tout jamais gravé dans un cœur de Platine.
Un cœur dur comme de la platine qui pourtant forme un bloc compacte. Sherkan mérite bien son nom malgré le fait que ce soit donné par pur hasard. Ou pas.